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 Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)

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Keanhy Theria
Messages : 26
Date d'inscription : 02/05/2014

Quelques mots sur moi
âge du personnage:: 23 ans
couleur de parole:: Chocolate
Keanhy Theria

Espionne du Gouverneur
Dukun Tigre de Sumatra

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MessageSujet: Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)   Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !) Empty02.05.14 16:49


Je me présente ...





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Mon état Civil - Carte d'Identité :


Nom & Prénom : THERIA Keanhy
Surnom : Kea pour les intimes, Suma pour le travail.
Âge :  23 ans
Nationalité : Indonésienne
Métier : Espionne pour les Belandas
Situation sociale : Dukun tigre de sumatra






Ma bouille et moi - Caractéristiques Physiques


Quelconque est sans doute le premier mot qui viendrait à l'esprit pour caractérisier Keanhy. Difficile de la décrire précisément, tant on ne lui prête pas attention. Avec sa petite stature, sa carrure fine sans pour autant être maigre, ses formes inexistantes, elle n'a rien pour attirer l’œil. Bien au contraire, elle semble veiller à ne pas se faire remarquer, comme si elle avait peur de déranger, et en cela elle y parvient admirablement. Rien d'autre qu'une simple jeune fille Indonésienne comme les autres, qui ne mérite guère que le regard s'attarde sur elle.

Les vêtements qu'elle porte sont simples, sans fioritures, mais d'assez bonne qualité. Elle semble avoir une garde-robe assez variée, puisqu'où qu'elle se trouve, sa tenue sera adaptée pour contribuer à la fondre dans la masse, passant aisément des habits colorés traditionnels de son pays à un ensemble d'inspiration européenne, voire même une robe plus habillée pour les rares occasions où elle côtoie la bonne société des Belandas.

Les gants qu'elle porte apparemment en toute circonstance, sans égard pour la température, peuvent éventuellement éveiller quelque intérêt, faire se lever un sourcil interrogateur, de même que la capuche qu'elle aime revêtir quand sa tenue s'y prête. À ceux qui prennent la peine de la regarder avec un peu plus d'intérêt, il apparaît qu'elle pourrait être jolie si elle s'en donnait la peine, si elle ne cachait pas constamment son visage derrière le rideau sombre de ses cheveux décoiffés.

L'esprit curieux qui pousserait davantage son observation de la jeune femme pourrait en venir à se sentir légèrement mal à l'aise en la regardant, sans toujours bien connaître la raison de ce trouble. Une démarche un peu trop souple, aux allures quelque peu félines, un regard trop appuyé, scrutateur, des mouvements un peu trop rapides, des réflexes un peu trop vifs, un sourire un peu trop carnassier. Il est pourtant charmant, ce sourire, quand on y regarde bien, un peu timide peut-être, mais certainement pas malveillant, et pourtant quelque chose en lui dérange. Seuls les plus perspicace remarqueront les canines un peu trop longues, un peu trop pointues, un peu trop acérées qu'il laisse entrevoir. Serait-ce à cause d'elles que la demoiselle sourit si rarement ?




Ma folie et moi - Profil Psychologique


Discrète, la jeune fille parle peu et d'une voix douce parfois à peine audible. Il est bien rare de la voir contredire ou s'opposer à quelqu'un, et plus encore s'énerver. Elle semble n'avoir guère d'avis sur les choses, ou si elle en a elle le garde généralement pour elle. Elle observe le monde avec un détachement qui laisse penser que rien ni personne n'arrive à la toucher, que ce soit de manière positive ou négative, ce qui n'est pas tout à fait exact. Ce n'est pas vraiment qu'elle se fiche de ce qui l'entoure, mais plutôt qu'elle a bâti une barrière entre elle et le monde. Consciente qu'elle n'était pas assez forte pour protéger ce qui lui était cher, elle a décidé que si elle ne tenait à rien, personne ne pourrait lui enlever. De ce fait, il lui est très difficile de se lier aux autres, et elle préférera fuir les personnes lui montrant un trop grand intérêt, ou à qui elle sent qu'elle pourrait s'attacher, plutôt que de risquer de les perdre. Sa seule ambition est de survivre dans ce monde en plein changement. Quelque part au fond d'elle, elle admire les Aslis, et tous ceux qui ont s'opposent à ces occidentaux venus envahir leur pays et traiter leur peuple comme des bêtes. Elle-même n'a pas ce courage, ni même celui de les haïr. Se sachant trop faible pour lutter, elle a fait son choix il y a bien longtemps : celui de servir le camp des puissants, quitte à être considérée par une traîtresse aux yeux de son propre peuple, et à vivre dans la terreur constante qu'on ne découvre sa vraie nature.






Mes gamelles et moi - Histoire


Keanhy ne se rappelle que très vaguement ses premières années. Un petit village tranquille au cœur de la jungle, une impression de paix et de convivialité, à l'époque où le Dukun était respecté et conseillait les villageois avec sagesse et bienveillance. On lui en a parlé, elle sait que ce temps a existé, mais elle-même n'en a pas le souvenir. Tout comme elle ne se souvient pas l'arrivée des Européens avec leurs vêtements étranges et leurs machines bruyantes, l'intégration du village à la Coopérative Agricole. Elle sait bien que la vie était différente, avant, mais elle ne l'a jamais connue. Sa mémoire n'a retenu que les images de ses parents trimant comme des bêtes pour gagner à peine de quoi survivre alors que les contre-maîtres les traitaient comme des sous-hommes, du Dukun isolé et ostracisé parce que plus personne n'osait aller le consulter.

Peut-être est-ce à cause de ça qu'elle ne s'est pas immédiatement rendue à l'évidence. Quand elle a perdu ses dents de lait et que ses canines ont repoussé d'une manière suspecte, trop longues, trop pointues, trop aiguisées, elle s'est dit que ce n'était sans doute rien, qu'elle avait des dents un peu étrange et voilà tout. Mais quand ses mains et ses pieds ont commencé à changer pour se couvrir de coussinets, il lui a bien fallu admettre la vérité. Elle n'était qu'une enfant alors, et l'idée d'être différente, d'être traitée encore plus mal que ne l'étaient le reste de ses semblables, la terrorisait. C'est en pleurs qu'elle est allée voir ses parents, les suppliant de l'aider, de faire partir ses choses, de la rendre normale. S'ils eurent le cœur brisé de la voir réagir de cette manière à ce qui, à peine quelques années plus tôt, aurait été vu comme une bénédiction, ils ne comprenaient que trop bien les peurs qui la hantaient. S'ils ne pouvaient rien faire pour la changer, au moins pouvaient-ils l'aider à dissimuler ce qu'elle était.

La sœur de la mère de Keanhy, elle-même Dukun qui était partie vivre dans un village voisin, fut appelée en renfort et accepta de venir les aider. Elle vint s'installer dans leur maison et, dès qu'elle en avait le temps et l'occasion, enseignait à la fillette à contrôler ses pouvoirs naissants. Elle l'entraîna à se transformer, lui apprit à se maîtriser pour éviter que ça n'arrive sans qu'elle le veuille. Elle tenta également de lui transmettre la part plus spirituelle de son héritage, de partager avec elle les secrets de la nature dont les Dukuns ont toujours été détenteurs, mais Kea était bien plus réticente à cette partie de son apprentissage, ne s'intéressant qu'à ce qui lui permettrait de conserver son secret.

Les années passèrent dans la crainte de se faire percer à jour. La jeune fille sortait peu, seulement quand c'était nécessaire, veillant toujours à se faire remarquer le moins possible quand elle n'avait pas le choix. Son père avait réussi à lui trouver une paire de gants pour dissimuler ses stigmates, trop grands, déjà usés et rapiécés, auxquels des doigts manquaient, mais ils remplissaient leur office, et ses mains grandiraient et finiraient bien par les remplir. Elle apprit à faire passer sa peur pour de la timidité, sa prudence pour de la modestie. On la trouvait étrange, avec ses mains toujours dissimulées et sa bizarre manie de rester constamment cloîtrée chez elle, mais elle maîtrisait également l'art de se rendre aussi inintéressante que possible, et l'on accepta rapidement son excentricité sans se poser trop de questions.

Elle était à peine en âge de travailler à son tour quand elle perdit sa mère, morte d'épuisement alors qu'elle était à nouveau enceinte après avoir subi plusieurs fausses-couches au cours des années. Le travail acharné qu'on leur faisait mener ne pardonnait pas aux natures fragiles. Ce fut un déchirement pour l'adolescente, et son père ne s'en remit jamais vraiment, se renfermant sur lui-même dans un mutisme d'homme brisé. Quant à sa tante, elle était repartie depuis bien longtemps, estimant n'avoir plus rien à apprendre à la jeune Dukun. Il fallut donc bien que Keanhy se mit à travailler à son tour, si elle ne voulait pas qu'elle et son père finissent par mourir de faim.

Pendant un certain temps, les choses se passèrent mieux qu'elle ne le craignait. Le travail était épuisant, elle rentrait chez elle chaque soir à bout de force et le corps perclus de douleurs, mais elle continuait à réussir à ne pas se faire remarquer, à conserver son secret envers et contre tout. Jusqu'à ce qu'un incident fasse tout basculer, l'année de ses quinze ans. Un incident au demeurant des plus anodins, terriblement commun, aussi quotidien qu'une simple couture qui craque après des années de dur labeur. Mais il s'agissait de la couture de l'un de ses gants, et sa main droite se retrouva ainsi révélée.

Peut-être les choses auraient-elles pu être différentes. Si elle avait su garder son calme, continuer à travailler comme si de rien n'était, ne pas se faire remarquer comme elle l'avait toujours fait, il se peut que personne n'aurait rien remarquer. Mais elle réagit bien différemment. Paniquée, incapable de se maîtriser, elle chercha à rentrer chez elle de toute urgence. La journée de travail étant loin d'être terminée, le contre-maître ne l'entendit bien évidemment pas de cette oreille et, remarquant la jeune femme tentant de s'esquiver, il la rattrapa bien vite. Jugeant hautement suspecte la façon qu'elle avait de tenter frénétiquement de dissimuler sa main, il la soupçonna d'abord d'avoir volé une quelconque babiole. Ce n'est que lorsqu'il la força à ouvrir la paume et qu'il découvrit le coussinet félin qui l'ornait qu'il comprit son erreur.

Il n'en fallut pas plus pour qu'il l'entraîne à l'écart, rapidement et avec efficacité. Contrairement à ce à quoi elle s'était attendue, il ne l'insulta pas, ne la traita pas de monstre, ne la frappa pas. L'homme était loin d'être idiot, et avait immédiatement sut déceler l'intérêt qu'il pourrait trouver à cette situation. Une jeune Dukun, fraîche et facilement malléable, à qui l'on n'a pas bourré l'esprit avec ces sottises de liberté et de rébellion... Voilà qui saurait être utile au Gouverneur. Et il ne doutait pas que ce dernier saurait le remercier pour lui avoir trouvé un si précieux outil. Aussi, plutôt que de la maltraiter et de l’admonester, il donna sa journée à la jeune fille perplexe après s'être assuré qu'elle avait jusque là précieusement gardé le secret sur sa nature, et l'engageant à continuer à faire de même jusqu'à nouvel ordre.

Il revint la voir dès le lendemain, s'assurant qu'elle était seule et qu'ils ne seraient pas dérangés. Il lui expliqua qu'il avait contacté les autorités à Batavia et qu'il avait une proposition à lui faire. Il lui dit que le Gouverneur était intéressé par ses services. Qu'elle serait bien traitée, qu'elle n'aurait plus à s'épuiser dans les champs, ni à redouter la faim. Qu'elle n'avait aucune obligation, qu'elle pouvait rester si elle le voulait. Il garderait son secret, elle n'avait rien à craindre. Si elle préférait continuer à s'épuiser et à vivre comme un animal, c'était son choix. Mais qu'elle donne sa réponse rapidement. L'offre généreuse du Gouverneur n'était pas illimitée. Elle lui dit qu'elle avait besoin de réfléchir.

Le soir, lorsque son père rentra, elle tenta de parler avec lui, de lui expliquer ce qu'il s'était passé. Il fut aussi laconique qu'à son habitude depuis la mort de son épouse, loin de tout, comme s'il ne comprenait pas et que ça n'avait pas d'importance. Un fantôme, une coquille vide, voilà ce qu'ils avaient fait de lui. Voulait-elle vraiment finir comme lui ? Ou comme sa mère, tuée à la tâche ? Elle n'était pas forte. Elle ne savait pas combien de temps elle serait capable de survivre ici. Sa mère était morte, son père brisé, elle n'avait aucun ami. Qu'avait-elle à perdre, au fond, qu'est-ce qui la retenait dans cette vie de misère ?

Le lendemain, elle quitta le village avec le contre-maître. Ni l'un ni l'autre n'y revinrent. Il reçut une promotion, dont elle ne sut guère plus et sur laquelle elle ne chercha pas à s'informer. Quant à elle, sa nouvelle vie venait de commencer. On lui apprit les bonnes manières, les façons de se comporter dans son nouvel environnement, envers les nouvelles personnes qu'elle serait amenée à fréquenter. On lui apprit également à espionner, à obtenir des informations et à reconnaître celles qui pouvaient s'avérer utiles de celles qui n'avaient aucun intérêt. On lui apprit comment s'approcher de quelqu'un sans se faire remarquer et comment le neutraliser, de façon définitive ou non. On lui apprit bien des choses, certaines qu'elle appréciait, d'autres qui lui faisaient horreur mais qu'elle devait bien emmagasiner malgré tout.

Et elle met à profit toutes ces connaissances pour servir ses nouveaux maîtres. Elle ne se fait pas d'illusion, elle a parfaitement conscience de ce qu'elle est. Un outil pour les Belanda, une traîtresse pour son peuple. Elle est reconnaissante de cette chance qu'on lui a offerte, même si elle a également conscience que ceux qui la lui ont donnée sont les mêmes qui sont responsables de la misère de laquelle ils l'ont tirée. Mais qu'importe ? Elle ne peut pas changer les choses. Elle l'a toujours su, et son éducation récente n'a fait que le confirmer : ils sont bien trop puissants pour qu'elle puisse espérer lutter contre eux. Alors elle fait la seule chose qu'elle puisse faire ; elle obéit. Elle survit.




Un petit mot sur vous ?


Le code {CODE BON} - Archeri
Pourquoi nous ? On m'a menacé à coups de fouets alors bon me voilà !
Un petit coup de main pour débuter ? Ça ira Very Happy
Un commentaire peut-être ? <3



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Archeri
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Archeri

Spectre phobique du rouge
Terreur d'Admin

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MessageSujet: Re: Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)   Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !) Empty02.05.14 18:40

Le fouet ... c'est pas si mal  :catwoman: 

C'est Coll qui vas être désespéré, une nouvelle femme!
Je n'ai rien à redire, je suis même un peu admirative. Tu es Validée !

J'espère que tu t'amusera bien  :Yaaay: 
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Cherry
Messages : 72
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Cherry

Dukun Civette
Prostituée pour dandys très riches et très curieux

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MessageSujet: Re: Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)   Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !) Empty02.05.14 20:49

Une nouvelle recrue du côté Obscure  :cheer:

Bienvenue !
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Keanhy Theria
Messages : 26
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Keanhy Theria

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MessageSujet: Re: Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)   Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !) Empty02.05.14 22:43

Ah ben moi qui m'attendais à devoir revoir des trucs, ça aura été plus rapide que je le pensais *-*
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Berbalang
Messages : 16
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Localisation : Dedans les cimetières
Berbalang

Necrophage aux allures étranges,
Comparse Admin d'Archeri

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MessageSujet: Re: Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)   Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !) Empty07.05.14 16:18

BIENVENUE !!!!

*Berbalang fait son sourire de sociopathe ultra flippant *

Eh t'as vu Archeri, je l'ai fait! Je l'ai fait! J'ai souhaité la bienvenue à la demoiselle comme quelqu’un de normal.

Hum, sinon chouette perso!
Very Happy
(Coll est derrière moi et il a ajouté: même si c'est une fille)
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MessageSujet: Re: Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !)   Kea (elle se sera fait attendre, mais la voilà !) Empty

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